Seules les boutiques fournissant les produits dits “essentiels” restent ouvertes. Certains autres commerces peuvent cependant continuer de fonctionner en adoptant un système de “drive”.
C’est notamment le cas pour les distributeurs d’écomatériaux, grâce au décret du 24 mars concernant les magasins de bricolage.
Néanmoins, force est de constater que ceux qui ré-ouvrent restent marginaux, craignant pour la sécurité de leurs employés et clients.
Par ailleurs, les conditions à respecter pour la livraison en période de crise sanitaire sont très strictes. Des structures telles que Eko Etik ou encore Pôle Habitat Écologique mettent en lumière la difficulté mais aussi le zèle avec lequel chaque acteur économique cherche à appliquer les consignes sanitaires.
Cette généralisation du drive place l’industrie du transport au centre de circuits économiques plus dématérialisés.
Autre conséquence notable : des réseaux comme Twiza développe l’initiative des “achats groupés”, permettant une mutualisation des coûts et une réduction des risques.
Cependant, malgré ces petites innovations commerciales, certains, comme Manon Clabaut du réseau Kenzaï, rappellent les problèmes courants que cette transition vers un possible “monde d’après” n’a pas encore résolus.
En effet, les retards de livraison et les surcoûts liés au transports restent la règle. Les acteurs logistiques, en première ligne, subissent eux aussi en effet un sous-effectif conséquent.
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